Très éloigné du caractère apprêté d’un corps de parade, le régiment des zouaves de la Garde devient rapidement la coqueluche du public, certes sensible à sa valeur guerrière mais aussi à la présence fréquente dans la capitale d’une troupe d’aspect exotique.
Pour lire l’article réalisé par Louis Delpérier, historien, commandez en ligne Napoléon III n°21 sur boutique.soteca-editions.fr